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mercredi 10 octobre 2012

Zig zag

Allez, hop,comme ça vite fait en passant, entre 2 préparations de cours et la cuisson de mon aubergine au four, j'te colle une photo de ma manucure du jour (enfin, de y'a 2 jours pour être précise, mais présentement, elle est toujours sur le bout de mes doigts, donc bon).

Petite technique du zigzag au scotch, pour celles (ou ceux, mais y'en a moins) que ça intéresse et qui connaissent pas : on pose la couleur de base, on laisse bieeeeeen sécher, puis on découpe des petites pointes de scotch, qui vont servir de pochoirs.

On les colle donc sur les ongles, après avoir enlevé le trop plein de colle en les collant-décollant sur le dos de la main (toute une technique !), on appuie bien sur les pointes et les côtés, et on pose la deuxième couleur.

Avant que ça sèche, on enlève dééélicatement les pointes de scotch, et on laisse sécher avant de poser une couche de top coat (et on fait pas la boulette en voulant faire la dernière étape trop rapidement, ce qui fait baver la deuxième couleur...)

Et voilà le résultat !

(et pas de commentaires sur mes cuticules ! La craie, c'est le MAL !)

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mardi 2 octobre 2012

Penne aux coques, sauce aux tomates séchées et basilic

Ce week end, on était de passage en Normandie, le papa et le frère du Normand avaient ramassé des coques, qui étaient donc au menu du samedi soir. Et comme il en restait, j'ai eu la chance de pouvoir repartir avec une bonne petite boite de coques pour la semaine !

Si samedi, on les a mangées nature, juste cuites dans l'eau bouillante, simple mais efficace, pour la deuxième tournée, j'avais envie de quelque de chose de plus "cuisiné" J'ai feuilleté mes quelques bouquins de cuisine, j'ai fouillé sur internet (marmiton mon ami), et puis l'inspiration est venue, et en croisant tout ça, je me suis lancée dans ma propre recette (en mode top master chef, youhou !)

Tout ça pour vous dire qu'aujourd'hui, je partage ma recette de :

Penne au coques, sauce tomates séchées pimentée et basilic !

Ingrédients :
 à vue de nez, 500 g de coques, avec les coquilles
du sel
 de l'huile d'olive
de l'ail
des tomates séchées (dans l'huile, mais séches ça doit marcher aussi)
du basilic frais
du piment d'Espelette
des pâtes (penne ou autres)


1) Tout d'abord, on fait dégorger les coques, qui sont potentiellement pleines de sable, pendant environ 2 h, dans de l'eau salée. En théorie, 35 grammes de sel pour un litre d'eau, histoire de se rapprocher de la salinité de la mer, en pratique, j'ai dosé au pifomètre, ça les a pas trop perturbées !

Pendant ces 2 heures, les coques vont gentiment (gentillement ?) barboter, s'ouvrir, se refermer, faire des bubulles et recracher une bonne partie du sable qu'elles contiennent. Attention, si vos coques sont ouvertes et ne se referment pas quand vous les touchez, c'est mauvais signe, elles sont mortes et pas au top de leur fraîcheur !

2) Après cette 1ère étape, on peut passer à la suivante, la partie cruelle de la recette ; ouvrir les coques en les cuisant vivantes !

On met les bestioles dans une casserole, à fond large de préférence, on recouvre d'eau, mais pas trop (il suffit que les coquilles affleurent, ), on sale pas, c'est pas la peine, et on chauffe. C'est une étape assez rapide, le but est juste d'ouvrir les coques. Si on n'utilise pas de casserole à fond large, on remue pour que toutes les coques soient bien au chaud, et s'ouvrent plus ou moins en même temps.

Une fois qu'elles sont toutes ouvertes, on égoutte au dessus d'un saladier pour récupérer le jus de cuisson (en effet, ça sert pour la suite de la recette, voire pour d'autre recettes...), et on décortique (ce qui se fait plutôt rapidement !). On peut les rincer à l'eau froide pour pas se cramer les doigts si comme moi, on est une petite chochotte...

3) Dans une poêle, on fait chauffer un peu d'huile avec une gousse d'ail écrasée (pas broyée, juste écrasée avec le plat du couteau par exemple, sinon, le goût sera trop fort : paye ton haleine de fennec !), et on fait revenir rapidement les coques décortiquées. Pas trop longtemps, histoires qu'elles finissent pas en fragments de caoutchouc (coque trop cuite, coque élastique !).

4) Dans un petit mixer, on place 4-5 tomates séchées (conservée dans de l'huile, sinon, on rajoute un filet d'huile d'olive), 3-4 belles feuilles de basilic, une pincée de piment d'Espelette (ou plus si on aime quand c'est relevé, personnellement, je suis douillette du piment) et un peu de jus de cuisson des coques pour fluidifer tout ça, et zouic zouic, on mixe.
(Si vous remarquez du sable dans votre jus de cuisson, vous pouvez le passer sur un filtre un café avant.)

5) On fait cuire des pâtes, pas besoin de plus d'explications a priori. Histoire de raconter ma vie, je suis fan des penne semi-complètes, elles accrochent bien la sauce et restent bien fermes ! Et puis elles apportent des fiiiiibres !

5) On pense à retirer la gousse d'ail écrasée de la poêle où on a fait revenir les coques (à mon qu'on aime les surprises goûtues à la dégustation ^^), on ajoute la sauce, les pâtes, on remue, on peut réchauffer vite fait, et c'est prêt !

Zou, dans l'assiette, 2 petites feuilles de basilic pour la déco, et bon appétit !




EDIT : la voilà, la photo !

Et puis la prochaine fois, si ça vous dit, je vous expliquerai comment j'ai fait un risotto avec le jus de cuisson des coques (oui, j'étais inspirée et motivée lundi !)

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lundi 24 septembre 2012

Alors, cette rentrée ? Boulot, amis, vernis !

Vu que c'est la principale question qu'on me pose en ce moment, je me suis dit que ça vous intéresserait un peu de savoir comment je vis cette rentrée en tant que prof!

Déjà, contrairement à ce que l'activité de ce blog pouvait laisser croire, je ne suis pas décédée ! J'ai juste beaucoup de boulot, mais contrairement à mon boulot précédent, je ne me sens pas submergée. Je sais où je vais, je gère mon planning de boulot comme je veux, je fais des choses qui m'intéressent, bref, je repend goût au travail ! Et ça fait du bien, parce que j'avoue que les 2 années précédentes m'avaient amenée à me demander si j'étais vraiment faite pour bosser...

Je dirais pas que j'ai trouvé ma vocation non, plus, j'ai pas l'intention d'être prof toute ma vie, mais pour le moment, et pour quelque temps encore, ça me convient plutôt bien. Faut dire que je commence dans des conditions plutôt favorables : une seule filière, seulement 2 classes, une dizaine d'élèves dans chaque classe, des matières que je gère globalement pas trop mal et surtout, des supports de cours laissés par la personne que je remplace histoire de pas partir de zéro. Bon, après, je suis à 1h30 du boulot, du coup, mon emploi du temps est en conséquence : mes cours sont répartis sur 3 jours pour limiter les allers retours, du coup, ça fait des journées de cours assez denses (jusqu'à 8 heure par jour).

Globalement, c'est plutôt rigolo de jouer à la prof. Les 2-3 premiers cours ont été extrêmement stressants (bonjooour les auréoles sous les bras !), mais je prend confiance au fur à mesure. Au début, c'est TRES perturbant d'entendre "Madame, madame !" et de se dire "Ah merde, c'est à moi qu'on parle, là !". Et puis, j'ai corrigé mes premières copies, je prépare mes premiers devoirs surveillés, c'est marrant d'être de l'autre côté de la barrière.

Et puis, j'ai un peu l'impression de retourner à mon rythme de vie étudiante, ce qui me plait plutôt bien. En gros, je dois préparer des exposés sur des sujets précis, je fais donc des dossiers, je bosse en croisant plein de sources, sites internet, livres, cours de ma prédécesseur, je prépare les exos que je fais en cours, etc. Il me manque que les soirées du jeudi en fait !

Bon sinon, ayant pris la grande résolution de me remettre au sport, j'ai pris contact avec un club qui a une équipe féminine de seniors (je suis viieeeeeiille), maintenant, faut juste que je me motive à y aller ! Vendredi, après 2 heures de route pour rentrer, dont 1/2 heure d'embouteillage, j'ai eu la grosse flemme, et j'ai préféré déguster la crème de mûres faire maison plutôt que de bouger mes fesses (honte sur moi !). Le Normand a repris son sport de prédilection la semaine dernière, et quand je vois les courbatures qu'il s'est tapées alors que sa condition physique est bien meilleure que la mienne, j'ai un peu peur de décéder sur le terrain dès les 10 premières minutes d'entrainement...

Mon petit évènement de la rentrée, c'est un couple d'amis que je connais maintenant depuis longtemps (voire très longtemps) qui ont eu un petit garçon. C'est marrant, j'ai d'autres amis, des cousines qui ont eu des enfants, mais là, ça me fait un effet particulier, sans doute le fait qu'on ait le même âge, que je me sens proches d'eux.

En parlant d'amis proches, est-ce qu'on pourrait pas créer la notion de rupture d'amitié ? Quand on est en couple, quand ça va plus, on en parle, et si c'est pas rattrapable, on sépare, les choses sont claires, c'est fini. Avec les amis, finalement, c'est plus compliqué, au début, c'est la fête, on est amis, jamais rien ne nous séparera, la distance on s'en fout tout ça tout ça... Et puis au fil du temps, tu en arrives à une situation où tu sais plus très bien où t'en es. T'as pas envie que ce soit fini, mais tu vois bien que c'est plus comme avant. Tu culpabilises parce que t'as l'impression de pas en avoir assez fait, de pas avoir assez appelé,de pas avoir donné assez de nouvelles, et puis tu réalises que finalement, ben ces personnes-là ne t'appellent pas non plus, ne te donnent pas de nouvelles, même si tu en demandes...

Et puis te rend compte que tu n'es plus sur les listes de mails qui annoncent les naissances, les mariages, les fêtes, choses que tu apprend par accident : "machin se marie ?" "oui, t'as pas reçu son mail ?" "ben, non" *regard gêné*  ou encore "on se verra à la soirée de bidule samedi ?" "ah bah non, je suis pas invitée" "ah, et, euh, sinon, t'aimes les endives au jambon ?..." Comme je suppose qu'au moins une personne qui lira ça va se sentir concernée (bisou!), je précise j'ai strictement aucune rancune par rapport à ces "boulettes". Au contraire, le simple fait qu'on pense logique que j'ai été mise au courant de tout ça est plutôt rassurant pour moi !

En ce moment, je suis de bonne humeur, du coup, je prend ça avec philosophie, j'ai d'autres personnes qui comptent beaucoup pour moi, et qui pour qui j'ai l'impression de compter un minimum, qu'on soit éloignés ou pas, mais les moments où je réalise, ça pique quand même un peu.

Pour finir sur une note un peu plus joyeuse quand même, j'ai une collègue qui a une grande passion pour les vernis à ongles, ce qui, je pense, ne va pas arranger mon addiction à cette nouvelle passion. Dernièrement, j'ai pris des photos de mes différentes manucures, dans l'optique d'en faire un article, mais j'avais que mon portable sous la main, et la qualité des photos est vraiment dégueulasse (vraiment !), du coup, ben, j'ai qu'une photo, celle d'aujourd'hui, j'ai fait l'effort de sortir le grozappareil et même de prendre la photo en mode manuel, histoire d'avoir un rendu pas trop scandaleux.

Manucure donc, en mode princesse-licorne-petit poney, le rose et moi, cette grande histoire d'amour...


Avec en spécial guest, le tableau magnétique de mon cher bureau IKEA, où je passe le plus clair de mon temps en ce moment...

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vendredi 31 août 2012

C'est la rentrée des classes !

Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours aimé la période de la rentrée.

Déjà, j'adorais la mission "fournitures" : les cahiers, les classeurs, les surligneurs et surtout l'A-GEN-DAAAAA.

Mon petit plaisir c'était de remplir la première page, écrire mon nom de ma plus belle écriture avec le stylo fraîchement acheté (allez, je suis sûre que je suis pas le seule !), j'ai même eu ma période customisation de la bête, avec espace réservé aux petits mots de keupines (bigs bisous bien baveux, tout ça tout ça). Cette année encore, mon premier achat, ça a été l'agenda. Je vous rassure, il est pas rose, j'ai pas dessiné des p'tits coeurs partout, et a priori, on va éviter les romans des keupines sur la page du dimanche, mais j'ai quand même soigneusement la première page avec mon nom et mon prénom...

J'ai toujours aimé l'école, si j'avais pu,  je crois que je serais encore étudiante à l'heure actuelle. (A défaut, je bosse en lycée, finalement, j'y reste, je ne fais que passer de l'autre côté du bureau.). Ça aide forcément à apprécier le mois de septembre.

Pour moi, c'est un peu synonyme de nouveau départ, encore plus que le Nouvel An, et particulièrement cette année. Nouveau boulot, nouvelles têtes, on se remet au sport (inscription à un club de basket imminente !!). Et du coup, je tiens vachement mieux mes "bonnes résolutions" qu'en janvier. Plus grande fierté : 12 kg perdus l'année dernière après un régime entamé en septembre ! (bon, j'en ai repris 5 pendant cette période de "vacances" prolongées, mais mes bonnes résolutions cru septembre 2012 vont résoudre tout ça !).

Et puis, surtout, ça me permet d'assouvir ma grande passion : les LISTES ! Listes de bonnes résolutions, de livres à lire (oui, c'est débile, j'ai plus de temps pour lire pendant les vacances, c'est pas grave), de séries à télécharger (booouh), de fringues qui me font baver, etc.

Enfin voilà, tout ça pour dire à qu'à J-3 de la rentrée, je l'adore, mais il y a de fortes chances pour que je réclame à grands cris mes prochaines vacances dans moins de 5 semaines... C'est ça qu'est bon !

Bonus miousique : 


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lundi 13 août 2012

Saucisse !

Vous le savez sûrement, depuis presque 2 ans, j'ai un chat, et comme toute bonne propriétaire de chat, je suis un peu gaga. Un petit florilège de photos ? (prise avec mon téléphone qui n'est pas un smartphone et qui fait des photos toutes pourrites !)

 Timide le jour de l'arrivée...
 Mais rapidement à l'aise finalement !
 Petit monstre
 Vraiment petite !
 Nouveau canapé : à peine installé, déjà adopté !
 Fanta découvre les poules.
 
Une vraie chasseuse (en ce moment, c'est une souris par jour... yummy -_-)
 C'est qui le chef ?

 
  




Toute surface est bonne à tester pour dormir, surtout quand ça fait chier !
 Coincée ! Des fois, elle est un peu con con quand même...







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lundi 6 août 2012

Infos en vrac de l'été !

Bonjoooour...

Oui oui, je sais, je suis un peu la reine de la loose... Début juillet, je fais du teasing tout pourri, en promettant tout plein d'articles "dans les jours à venir", résultat : presque un mois plus tard, que dalle !

Mais ! J'ai une bonne excuse : quelques jours après ce dernier billet, j'en avais préparé un autre, en mode Infos en vrac de juillet, et puis comme un bon Kinder Bueno que je suis, j'ai enregistré, et j'ai pas publié... Et puis, c'était les vacances, les valises à préparer, le départ, le profitage de temps libre avec le Normand, le week end en famille, et c'est seulement hier que j'ai remarqué ma boulette...

Donc, infos en vrac de l'été !

+ J'ai découvert le concept de crémaillère sauvage : quand l'appart en question n'est pas assez volumineux pour accueillir tous les invités, une solution simple : avoir un pote qui a un champ à mettre à disposition, on installe une grande table, une tireuse à bière, un groupe électrogène, on plante les tentes et on passe un week end en mode festoch en petit comité !

+ J'ai également découvert la baignade dans un lac : ça peut paraître débile, mais en 25 ans, j'avais jamais testé. Conclusion : ça fait bizarre de se baigner dans une eau mal assaissonée, c'est fade, ça flotte pas, mais c'est quand même sympa (et puis la sensation de la vase qui s'immisce entre tes orteils, hummm, indescriptible !)

+ J'ai fait mon baptème de parapente ! Nikel, tout en douceur, limite, le plus impressionnant, c'est le décollage quand le moniteur te demande de te mettre à courir vite vite vite sur une pente très pentue. Des ptits guilis également au moment où le moniteur rate le courant ascendant et que tu fais une mini chute libre d'au moins plusieurs dizaines de... centimètres ! (en même, je suis du genre à avoir des sensations fortes sur une balançoire hein).
Une petite honte, au moment de l'atterrissage, où mes jambes ont décidé de me faire une blague et de ne pas me tenir : atterrissage sur le cul, grande clâsse !
Et puis, on est passé à côté d'un bon coup de stress : après notre atterrissage, y'a un deltaplane qui s'est pris un parapente, les 2 ont fini dans les arbres en contrebas ! Rien de grave finalement, mais j'avoue que si c'était arrivé avant que je me lande, je n'aurais pas apprécié la chose de la même façon !

Décollage de tout en haut pour un atterrissage tout en bas !

Deltaplane + parapente = accident ! 
C'est pas moi ! Hu hu hu!

+ Je suis passée tout près tout près d'un très gros incendie. Vous avez sûrement entendu parler d'un grand incendie en Catalogne il y a quelques jours ? Ben ça se passait pile au moment et à l'endroit où on devait passer pour descendre en Espagne ! Le lundi, l'A9 était donc fermée, y'a eu des morts, on était bien en stress ! Finalement, dans la nuit de lundi à mardi, le vent a tourné, l'incendie s'est éloigné de l'autoroute, qu'on a pu prendre sans risque. Au premier plan donc pour voir les dégâts que peut faire un tel évènement, c'est assez impressionnant.

Photo toute pourrite, j'ai pas mieux !


+ Je me suis rendue compte que se remettre à parler espagnol, quand tu n'as pas pratiqué depuis loooongtemps, c'est un peu laborieux. Au bout de 5 jours, je commençais à me sentir plus à l'aise et à éviter de tutoyer allègrement les inconnus, malheureusement, au bout de 5 jours, ben c'était la fin du séjour !*

+ J'ai pu avoir la confirmation que beaucoup de catalans ne se sentent pas espagnols, et alors que tu viens de faire un effort incroyable pour construire une phrase grammaticalement correcte en espagnol, le monsieur t'annonce en français qu'ici, on ne parle pas espagnol, plutôt français ou anglais (ou catalan, mais bon...). Presque frustrant. Heureusement, c'était dit avec le sourire !

+ Après une semaine à vivre entre la plage et la piscine sous un soleil méditerranéen, j'étais super fière de rentrer sans un seul coup de soleil (merci la crème solaire !). Après une journée en Bretagne, il aura suffit d'une petite balade en vélo sous un ciel un peu couvert pour cramer des épaules. Je l'ai toujours dit, le soleil breton est farceur !

+ Le Normand ayant repris le boulot, je me replonge dans la préparation de la rentrée ! Le stress mooonte !

Voilà pour le modeste rattrapage, je garde dans un coin de la tête mes promesses de billets, qui arriveront avant la rentrée !

Bisous !
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lundi 9 juillet 2012

Je suis vraiment une limace, j'ai plein de temps, plein d'idée d'articles qui vont, qui viennent, et pourtant, ce blog ne bouge pas...

Allez, dans les jours à venir (je m'avance pas trop non plus), un article sur un bouquin de cuisine dans la continuité du premier bouquin présenté, des infos en vrac, des photos (oui oui, on se motiiiive). Voilà, c'est dit, je suis obligée de le faire !

A bientôt !
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lundi 18 juin 2012

Handicapée de l'amitié ?...

C'est marrant comment on peut commencer une semaine en se disant que l'amitié c'est trop beau, qu'on peut passer un long moment sans se voir, et quand on se revoit, c'est comme avant, rien n'a changé. Et quelques jours plus tard, se dire qu'en fait, c'est tout pourri, que ça fait mal de se rendre compte qu'un groupe d'amis prend le large en nous laissant derrière sans même s'en rendre compte...

Je reproche rien à personne, c'est juste les choses qui se font comme ça, évidemment, quand les gens se voient tous les mois, toutes les semaines, et qu'on arrive comme un cheveu sur la soupe qu'une fois par an, ça devient difficile de se trouver des points communs.

Je pensais naïvement que le fait de se rapprocher finalement pouvait relancer les choses, mais peut-être que c'est trop tard, qu'une fois que lien est détendu, on peut plus le resserrer...

Ce qui me fait me remettre le plus en question, c'est que c'est pas la première fois que ça m'arrive. Et les "réseaux sociaux", ça appuie bien là où ça fait mal : je vois des groupe d'amis, dont j'ai fait partie, continuer à se voir, à évoluer ensemble, sans moi. Je suis la fille qui passe, avec qui on rigole bien un moment, mais qu'on oublie facilement quand elle est plus là... La fille qui a été sur les photos, et qui n'y est plus, qui a été remplacée...

Je sais même pas si c'est de ma faute, s'il y a quelque chose que je fais mal... J'ai pas l'impression de fermer la porte à qui que ce soit, bien au contraire. Les amis sont toujours les bienvenus chez moi, je pense le dire assez souvent, et toutes les fois où j'ai été éloignée, j'ai eu l'impression de faire tout mon possible pour garder ce lien.

Tout ce que je sais, c'est que je suis pas du genre à appeler toutes les semaines pour prendre et donner des nouvelles, et même si ça m'empêche pas d'avoir régulièrement une petite pensée pour tous les gens qui me sont chers, je donne peut être pas l'impression d'être très attachée.

Enfin, voilà, c'est la vie, y'a juste des petits évènements qui sont parfois la goutte qui font déborder le vase.
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jeudi 14 juin 2012

Ca progresse !

Juste un mot vite fait, pour les dernières nouvelles. Ca se précise pour la rentrée, je suis sûre d'être prof dans le lycée que j'ai déjà visité quelques fois ! Pour le moment, un poste est libre, qui me convient plutôt bien, mais je garde toujours l'espoir que l'autre, dont je vous ai déjà parlé, se libère aussi. 

Réponse fin juin !
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jeudi 7 juin 2012

Les joies de l'administration, effet kiss kool !

Pfiou, hier, j'ai vraiment passé une journée de merde, plein de stress, déception, angoisse et compagnie ! Je vous explique !

1er acte : 5 et 6 juin, réunion qui décide des mutations : qui a droit de partir où et quand. Réunion que j'attendais avec impatience, vu qu'elle devait me permettre d'en savoir plus sur ma situation à la rentrée (prof ou pas prof, où ? quoi ? etc.). J'ai donc passé toute la journée à rafraîchir la page d'accueil du syndicat auquel je suis affiliée pour y voir apparaître le compte rendu de la fameuse réunion. La page m'annonçait que le compte rendu serait publié à la fin de la réunion, prévue pour 18h30. Oui oui, 18h30, mais j'ai quand même passer toute l'aprem à faire F5 F5 F5, des fois que la réunion se terminerais plus tôt que prévu (mais bien sûr, je crois que tout mon sens commun s'était étouffé dans mon stress sur le coup)

Bref, c'est après des heures de martyrisation de mon clavier, vers 20 heures, que ZE compte rendu est enfin apparu ! Je commence par ouvrir un tableau de 52 pages, CTRL + F pour trouver mon nom... Pas de nom... Des fois que ça soit le CTRL F qui marche pas(oui oui, je sais...), je me farci les 52 pages à la recherche de mon nom, que je ne trouve pas plus... La pression monte, puis je me rend compte qu'il y a un deuxième document ! Hiii ! Je trouve mon nom... Et là, c'est le drame, toutes mes demandes affiches "poste non vacant", notamment celui pour lequel je me suis déjà déplacée deux fois, et dans lequel j'ai déjà eu le temps de bien me projeter... OK.. Je comprend donc que pas de poste à la rentrée, pas de boulot, va falloir que je me lance à la recherche d'autre chose, sauf que là, je sais plus du tout ce que je veux faire d'autre, et puis merde, ça va être vachement plus compliqué pour me réintégrer dans la fonction publique du coup... Coup de stress, mal de bide, toussa toussa...

2ème acte : entre 2 clic-clic frénétiques, mon cerveau a une illumination, c'est l'avant dernier jour pour remplir ma déclaration de revenus sur internet, oh joie... Ma, plutôt notre déclaration, vu qu'on s'est pacsé l'année dernière, cette année c'est déclaration commune pour le Normand et moi !Bon, je m'y prend un peu au dernier moment, c'est maaal, je sais, mais en même, ça va aller vite (que je me dis, hahaha...). J'ai tout ce qu'il faut sous la main, les doc justificatif, les montants, mes identifiants, ceux du Normand, et j'ai vérifié, je peux faire la déclaration en ligne vu que l'année dernière, il est été rattaché au foyer fiscal des parents.

Je commence donc à remplir/cocher les cases, jusqu'à la fameuse ligne qui me demande son numéro de télédéclarant. Keuwah ? J'ai pas, ça, comment se fait-ce ? Bon, et ben coup de téléphone à belle maman, voir si elle peut me renseigner. Bon (bis), là tout de suite elle est pas là, j'ai plus qu'à attendre qu'elle rappelle. Elle rappelle, je lui explique, et elle m'apprend qu'elle fait la déclaration sur papier, mais qu'elle va regarder au cas où si elle trouve ce fameux numéro. Elle ne trouve pas. Il est 18h00, ça sert plus à rien d'appeler le centre des impôts (un sursaut de mon sens commun sans doute).

Acte 1 + Acte 2 = breizhillienne qui va au dodo très contrariée...

3ème acte : le lendemain. Je me réveille mitigée : toujours l'énervement de la veille, mais je me dis qu'après une journée pourrite comme ça, ça ne peut qu'être mieux aujourd'hui.
On se bouge, première étape : appeler le directeur du lycée que je vise pour voir s'il a plus d'info ; réponse : "je n'ai pas plus d'info". OK.

Deuxième étape : on résout ce problème d'impôts. Premier coup de téléphone,, ça répond pas,j'appelle un autre numéro, la madame me conseille d'appeler un autre service qui m'explique que ben non, si mon Normand a pas fait de télédéclaration l'année dernière, on peut pas en faire une cette année, il faut faire une déclaration papier. Le délai pour la déclaration papier ? 31 mai. On est le 7 juin. OK. Je raccroche, je me dis qu'on va devoir payer des pénalités en plus youpi, et je réalise que je n'ai pas de formulaire pour faire ma déclaration papier.

Donc, je rappelle la première madame que j'ai eu, très gentille, qui me dit de passer au centre qui est à 10 mn de chez moi pour récupérer un formulaire. Et elle m'explique que si je prépare un courrier explicatif, ça devrait aller, je ne devrais pas avoir de pénalités de retard. Ouf, je prépare donc un courrier pour le centre, je vais chercher la papier, et une madame me dit qu'elle n'est pas à déposer chez eux, mais au centre des impôts. Ben oui, logique.

Donc, je ré-écrit mon courrier en changeant de destinataire, je remplis la déclaration (10mn chrono, je vous l'avais dit que ça serait rapide !), et je décide d'aller la déposer en main propre au centre des impôts qui est à 20-25 min de la maison, histoire de pas amplifier le retard en passant par la poste. 25 mn de route, j'arrive au centre, je vais le monsieur préposé aux déclarations de revenus qui est très compréhensif, et surtout très désolé de m'apprendre que c'est pas à lui que je dois donner ma déclaration, mais qu'il faut l'envoyer dans l'Aveyron, vu qu'au 1er janvier 2012, on y était encore.

GNIIIIH. Je me tape donc les 25 mn de retour, je re-refais un courrier au nouveau bon destinaitaire, et je file jusqu'à la poste envoyer mon enveloppe avec double dose de timbre pour être sûr que ça arrive pas dans trois mois. Résultat : il est 12h45, j'en sais pas plus que ca matin et j'ai FAIM ! A cette heure-ci, ça sert à rien que j'appelle qui que ce soit, donc je mange !

Puis, je décide d'envoyer un mail désespéré à la prof que je pensais remplacer à la rentrée pour savoir si elle a plus de détails. Faut croire qu'il fallait juste manger pour que tout aille mieux, parce qu'à partir de là, ça s'arrange.

Elle me rappelle, et m'explique qu'en fait, rien n'est perdu, c'est juste plus compliqué que prévu. En gros, je veux le poste d'une prof qui a demandé sa mutation sur un poste qui ne se libérera que si la personne a sa mutation sur un autre poste qui sera libre si la personne qui y est a aussi sa mutation, et cerise sur le gâteau, ce dernier maillon de la chaîne est une personne qui veut changer de ministère, et c'est ça qui ralentit tout !!!

Bon, pour résumer, concernant la rentrée, j'en suis toujours au même point, suspense jusque fin juin a priori (à moins que le suspense dure encore un peu plus !)

Et puis finalement, j'ai pu avoir le centre des impots aveyronnais ; avec le courrier que j'ai fait, pas de souci, pas de pénalités : OUF !

Voila, c'était l'ascenseur émotionnel du jour, ça mérite bien une ptite barquette de fraises tout ça !

(et félicitations si vous êtes arrivées au bout de ce pavé)



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mardi 5 juin 2012

Miam miam...

Si il y a bien un truc qui me passionne dans la vie, c'est la bouffe ! Oui, je suis un ventre sur pattes, j'adore tout particulièrement faire de la pâtisserie, mais pas que !

En troisième année, j'ai fait une option Nutrition Santé, et ça a été la révélation !

Manger, ce n'est pas que avaler des nutriments ; entre la dimension sociale, les aspects psychologique et l'impact environnemental, y'a vraiment beaucoup de chose à dire, et je pourrais en parler pendant des heures !

D'ailleurs, c'est en discutant avec Habana que l'idée d'en parler ici m'est arrivée (merci). J'ai mis un peu de temps à mûrir tout ça, je sais pas vraiment par où commencer d'ailleurs, mais comme en ce moment j'ai le temps, je me dis que c'est le moment idéal !



Du coup, pour commencer, je vais vous parler de quelques unes de mes lectures. Parce que oui,j'aime lire, et si à la FNAC, vous me trouvez pas au rayon polar, a priori, au rayon cuisine ça devrait être bon !

Le tout dernier que j'ai acheté s'appelle "Ceci n'est pas... un régime", du Dr Lylian Le Goff et Laurence Salomon. Alors, certes, avec un titre comme ça, on se dit que c'est encore un livre qui va te donner des recettes miracles pour avoir un corps de super bombasse le temps de te promener en maillot pendant 3 semaines à la plage.. Mais non !

Même si l'accroche du livre est quand même basée sur la perte de poids, c'est un peu plus poussé que ça, et ce qui m'a plu, c'est que ça rejoint complètement mes convictions en ce qui concerne l'alimentation.

En bref, ce livre présente ce que les auteurs estiment être une alimentation durable, c'est à dire une alimentation qui permettent une bonne santé et une bonne forme physique, dans l'immédiat et sur le long terme, mais aussi une alimentation qui n'impacte pas (ou peu) négativement l'environnement et qui de préférence, évite de vider complètement ton portefeuille. Dans les grandes lignes, ça donne :

      - éviter les produits trop raffinés, soit : privilégier les céréales complètes ou semi complètes (que ce soit farine, pâtes, pain...), le sucre de canne roux ou intégral, les huiles vierges premières pression, etc. Les produits raffinés apportent ce qu'on appelle des "calories vides" : par exemple, le sucre blanc n'apportera que du saccharose, tandis que le sucre roux, voire intégral est également source de minéraux, de fibres... Du coup, le livre encourage particulièrement à cuisiner un maximum, pour éviter de consommer des plats cuisinés, des produits tout faits souvent riches en produits raffinés, en sel, en graisses saturées, etc.

      - privilégier le bio. D'ailleurs, ça rejoint le premier point, dans la mesure où les résidus de traitements phytosanitaires appliquées aux cultures se concentrent particulièrement dans les enveloppes extérieures (peau, son...). Une farine complète issue de l'agriculture conventionnelle a donc plus de risques de nous exposer à des résidus de pesticides que son équivalent bio, ou qu'une farine du type T55 (= raffinage assez poussé) conventionnelle.
Le deuxième argument est bien sûr environnemental, je pense que je n'ai pas besoin de développer ce point.
Un dernier argument (et attention, je vous colle un extrait de mon mémoire de fin d'études ^^) : "Cette habitude d’utiliser des produits moins raffinés peut [également] s’expliquer par un souhait [...]de valoriser au maximum [la] production. En effet, avec 100 kg de blé, on obtient 75 kg de farine blanche de type T55, soit une perte de 25 %, alors que le poids de farine semi-complète [T80] obtenu avec la même quantité de matière première peut atteindre les 85 kg ; la perte est inférieure de 10 points." L'intérêt est donc de limiter le gaspillage et de mieux valoriser les productions.

      - limiter la consommation de protéines animales. Dans les dernières décennies, la consommation de  viande, et particulièrement de viande rouge a explosé, je pense pas me tromper en disant que 90 % des gens de mon entourage (et moi y compris) mangent de la viande tous les jours. Deux "soucis" liés à ça : premièrement,  la viande apporte une quantité assez importante d'acides gras saturés, qui peuvent être responsables de maladies cardio-vasculaires notamment (excès de cholestérol, tout ça tout ça...). Deuxièmement, d'un point de vue écologique/économique, la viande n'est pas vraiment gagnante : les animaux que nous consommons sont nourris avec des végétaux que nous pourrions nous-même consommer, et il faut l'équivalent de 7 protéines végétales pour produire 1 protéine animale. Pour faire un gros résumé : avec 1 hectare, un producteur de céréales nourrira plus de personnes qu'un éleveur bovin.

Je précise ici que je ne suis pas pro-végétarien/végétalien/vegan. Pour moi, la viande, au delà d'être un plaisir ("une côte de boeuf, aaaah !" (la première personne qui trouve ma référence a gagné)), c'est un aliment de base. La viande apporte des nutriments que les végétaux n'apportent pas ou peu (vitamine B12, fer plus biodisponible..) et l'apport en acides aminés est mieux équilibré. Le problème, c'est tout simplement qu'on en mange trop, 2 à 3 fois par semaine serait suffisant.

Alors, comment on équilibre ses repas, vous me dites ? Tout simplement en sachant bien associer les produits végétaux : pour obtenir un apport équivalent à la viande en acides aminés , le mieux est d'associer céréales (blé, maïs...) et légumineuses (soja, lentilles...). D'ailleurs, et je trouve ça super intéressant, c'est que sans connaissances en termes de nutriments, l'humain a traditionnellement élaboré des plats équilibrés en acide aminés :  coucous = semoule de blé dur + pois chiche ;  plats mexicains = maïs + haricots rouges ; cuisine japonaise = riz + soja... (sachant qu'à la base, ces différents plats sont sans protéines animales).

Le livre aborde également l'aspect psychologique de l'alimentation : pourquoi on grignote, pourquoi on mange trop, pourquoi les régimes amènent le plus souvent à regrossir (je me prive, je me prive, je me prive... Aah, je craaaaque : chocolat, bonbons charcuterie et bim, 3 kilos dans chaque fesse !). Mais ça, je vous en parlerai plus tard, avec un ou deux autres livres bien intéressants.

Voilà pour aujourd'hui, j'espère que tout ça intéressera quelqu'un d'autre que moi, et surtout, si vous avez des questions, besoins de précisions, posez les ! C'est un sujet qui me passionne, j'adore en parler, mais je ne sais pas forcément par où commencer.

Et aussi, je suis loin d'être une experte, s'il y a des corrections à apporter, dites-le moi !

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jeudi 10 mai 2012

Quitte ou double !

Suite de mes aventures de fonctionnaire !

Je suis retournée hier au lycée pour assister à un TP, les choses peuvent peut-être avancer dans le bon sens !
Sur les conseils de la prof, confirmés par le Normand, je viens d'envoyer un mail au directeur pour lui dire que je suis intéressée par le poste, à condition de ne faire que de l'enseignement, et que je ne veux pas de la partie responsabilité de la halle...

Quitte ou double donc, parce que s'il est OK, c'est cool, mais si ma réponse ne lui plait pas, il peut décider de trouver quelqu'un d'autre à appuyer, et le poste me passera sous le nez...

Y'a plus qu'à croiser les doigts pour que ça roule. Pour que tout roule d'ailleurs, parce que y'a une autre condition : que le poste soit libéré à la rentrée, c'est-à-dire que la prof obtienne sa mutation, c'est-à-dire que le poste qu'elle veut soit libéré, etc... La fonction publique, c'est un peu le jeu des chaises musicales des fois !


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vendredi 4 mai 2012

C'est du moquage !

Bon, ça bouge pas trop ici, donc d'abord, un petit point nouvelles : je me me fais bien à ma nouvelle vie, tout va bien, mais présentement, c'est un peu la merdouille dans ma tête !

Comme j'ai pu vous le dire, en même temps que j'ai demandé ma dispo, j'ai postulé sur des postes de profs pour la rentrée de septembre. J'ai donc fait 11 demandes diverses zet variées (agroalimentaire, zootechnie, agronomie... en côtes d'armor, ille-et-vilaine, mayenne...). Il faut savoir que sur les fiches de demande de mutation, y'a une petite ligne en bas, à côté de là où tu signes, qui dit que tu t'engages à accepter ton affection à partir du moment où tu l'as demandée... Certes, ça me paraît logique et compréhensible, du moment que tu demandes, c'est que tu veux... Ou pas...

Donc, y'a quelques jours, j'ai fait une mission "envoi de mail aux directeurs de lycée où j'ai postulé". Moyennement concluant (très moyennement) : en gros, sur les 11 postes sur lesquels j'ai postulé, et qui était tous "susceptibles d'être vacants", ben finalement, y'en a au moins 8 qui ne sont finalement pas vacants...

Ce qui m'a fait plaisir, c'est que y'a quand même un directeur qui m'a répondu et qui accepté de me recevoir pour discuter de tout ça : j'étais donc contente, même si c'était le lycée le plus éloigné de la maison : 1h30 de route (1h45 si on compte les bouchons -_-). Je me suis dit que pour un poste de prof, y'a peut être moyen de s'arranger pour regrouper au max les heures de cours pour éviter de faire l'aller retour 4 ou 5 fois par semaine.

Je vais donc à ce rendez-vous/entretien, et je rencontre le directeur qui me présente le poste en question :
enseignant en génie alimentaire (bien), auprès d'étudiants en BTS agroalimentaire (bieen), avec un 1/3 temps de décharge pour bosser sur un projet régional (bieeeen). Ah oui, et puis aussi, responsable de la halle technologique... NOooOOoOn !!

En gros, c'est pas tout à fait comme ce que je faisais dans l'Aveyron, où c'était un atelier technologique, ce qui implique personnel salarié de droit privé, budget propre, etc. Là, c'est un laboratoire plus orienté pédagogie, plus neuf, moins de problèmes apparemment, mais le problème, c'est que le but, c'est de le transformer en vrai atelier techno assez rapidement...

Franchement, j'ai vraiment pas envie de reprendre tout ça, si je suis partie c'est (entre autres mais principalement) parce que le boulot me plaisait pas, et puis même s'il y'a moins de travail, j'aurais quand même à gérer la partie cours (6 ou 7 heures, certes, c'est peu, mais quand t'as jamais enseigné, c'est beaucoup quand y'a autre chose à gérer à côté). Et puis, y'a cette histoire de distance. Je l'envisageais  avec pas trop de stress dans la mesure où y'avait moyen de pas faire l'aller tous les jours... Mais là, 3h00 3h30 de route tous les jours, c'est mort : j'ai pas envie de crever de fatigue, et puis je sais même pas si ça serait rentable financièrement...

Mais bon, c'est quand même pas simple tout ça : c'est a priori la seule possibilité d'avoir un poste à la rentrée (sauf surprise), donc je peux pas dire non comme ça tout de suite, et puis petit détail administratif : ce poste, je l'avais mis en 1er choix dans mes voeux, et si vous avez bien suivi, si l'administration me dit "on vous affecte là", ben a priori, j'ai pas le droit de refuser...

Moi, c'est sur un poste d'enseignant que j'ai postulé, pas sur un poste de responsable, alors je sais pas si je suis obligée d'accepter... Mais ce qui me fait peur, c'est de dire que je veux pas de cette partie du boulot, et que du coup, ils trouvent quelqu'un d'autre... AU SECOURS !
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dimanche 1 avril 2012

Ca sent la fin !

A partir d'aujourd'hui, je suis officiellement sans emploi (et c'est pas un poisson d'avril, j'aime pas du tout ça, j'y reviendrai ptète plus tard) (bon, je bosse encore 2 jours quand même, parce que je suis une fille sérieuse)

Un gros mélange de sentiments, de sensations, toutes plus contradictoires les unes que les autres.

On va dire que cette dernière semaine en Aveyron, ça a un peu été la semaine de la lose (loose ? louze ?).

Entre mercredi, ou j'ai envoyé des collègues dans une mission IKEA bien foireuse qui les a fait rentrer à minuit au lieu de 19-20h, et m'en vouloir un (tout) petit peu beaucoup quand même, le lendemain, ou après cette mission foireuse, on s'est rendus compte que les penderies si péniblement rapportées de la Grande Ville étaient tout simplement trop hautes pour les vestiaires, vendredi ou j'ai appris que mes chances d'avoir un poste de prof à la rentrée venaient de se réduire considérablement, et cerise sur le pompon du gâteau, le collègue qui me zappe et m'oblige à passer la soirée seule dans mon bureau, pendant que le Normand commence le week end avec des copains, ben vendredi soir, c'était un ptit peu complètement la grosse déprime, gros craquage lacrymal.

Heureusement, super-Habana passait sur Facebook, et a rompu ma terrible solitude et m'a remonté le moral en quelques mots. Allez hophophop, je me reprend en main, je me fais chauffer une crêpe au sucre (et au beurre salééééé), je me mate les 11 commandements (rires assurés, comme quoi des fois, faut pas chercher trop compliqué) et petit dodo qui requinque.

Sauf que le lendemain...

Le programme de la journée, c'était vente de pâtés - foies gras- saucisse sèche toute la journée dans un coin paumé du Lot, heureusement pas toute seule... Pas toute seule ? Ah bah si justement, la collègue qui devait me tenir compagnie m'annonce à 7h30 que sa petite de 2 ans vomit tripes et boyaux et que donc elle peut pas venir... Me voilà donc à 7h45 en train de charger des caisses de 20-30 kg toute seule dans le fourgon, et une heure plus tard je les décharge pour mettre en place le stand, sachant qu'à la fin de la journée, il faudra les recharger dans le fourgon, puis les re-décharger pour rendre le fourgon... Mon dos soooouuffre !

Et donc, aujourd'hui, je suis sensée boucler le big dossier qui me pète les ch'touilles depuis septembre 2010, je suis dans mon bureau depuis 10h, il est 13h15 et j'ai toujours rien glandé, j'y arrive pas, concentration zéro.

Tout ce dont j'ai envie, c'est d'un bon barbeuc en terrasse, une côte de bœuf, de la salade, du rosé et un bon p'tit sorbet en dessert, en short-débardeur-tong ! Et ben non, non plus : je remonte mardi en Bretagne, et à partir de mardi, il pleut... (soyons optimiste, la pluie remplira la cuve à eau, on pourra arroser notre petit potager !)

(je voulais insérer ici une photo, mais cet ordi ne dispose pas de Paint, donc je peux pas vous faire un magnifique ImprEcran de la page de MétéoFrance, du coup je meuble)
Mouhaha, mon humour est ravageur... Ou pas...


Et donc, je vous parlais de sentiments contrastés, ben c'est exactement ça !

Semaine de merde à te foutre le moral dans les chaussettes, mais en même temps je suis toute excitée, je reeeeeentre en Bretagne, je vais voi a famille plus souvent, on a plein de copains dans le coin, je vais arrêter de vivre dans un 2 pièces chambre d'internat - bureau du boulot, je vais pouvoir cuisiner et arrêter de manger des trucs réchauffés au micro-ondes, jvais retrouver mon Normand, je vais retrouver mon ptit chat. Mais en même temps, je me rend compte que je laisse ici, derrière moi, des gens qui je ne connais pas encore hyper bien mais que j'aurais aimé mieux connaître, y'en a ptête certains que je ne verrai plus jamais...

Et puis je suis soulagée de quitter ce boulot et ses responsabilités, je suis contente, je vais pouvoir prendre quelques jours à ne rien faire, et en même temps, je suis morte de trouille, je ne sais pas où je vais exactement, j'ai peur de cette incertitude, je continue à demander si j'ai fait le bon choix...

Ah, c'est la guerre civile dans mes neurones, comment je suis sensée bosser avec tout ça ?!

Bon, sur ce, je vais quand même essayer de me sortir les doigts du (...), ça serait con d'être obligée de rester ici mardi pour finir un truc que je peux boucler aujourd'hui !

Bisous !
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mercredi 21 mars 2012

J'aime pas le lundi

Bien qu'Habana me le réclame à grands cris (ou presque ;) ), pas de photos de ma magnifaïque manucure à pois de la semaine dernière, j'ai pas pensé à demander au Normand de me ramener mon câble pour transférer les photos de mon téléphone au PC...

 J'ai pas pensé non plus à lui demander de me ramener une paire de chaussures, ce qui aurait été bien sympatique pour mes pieds. En effet, quand on a déménagé au début du mois, j'ai pensé à garder avec moi toutes mes fringues (ou presque), par contre, je n'ai pris que deux paires de chaussures : des bottines à talons définitivement trop hauts pour être portées pendant une journée de boulot ordianire (je vous ai déjà dit que le lycée était placé à flanc de colline, et que je me cogne au moins 2 aller retour par jour entre mon bureau (tout en bas) et l'administration (tout en haut) ?), et deuxième paire, des bottes fourées. Concrètement, c'est comme si je n'avais qu'une seule paire, vous imaginez ne porter qu'une seule paire de chaussures pendant un mois, tous les jours pendant 12 heures d'affilée... Ben du coup, j'ai été obligée (oui oui OBLIGEE) d'acheter une nouvelle paire de chaussures de toute urgence.
Ainsi se réalise un fantasme chaussural : des baskets montantes fluo !
Voilà, donc aujourd'hui, je suis au boulot en jean-baskets fluos-sweat à capuche + vernis rose... Je crois que la perspective de me casser bientôt me fait pousser des ailes niveau présentation, et promis, aujourd'hui, je ne ferais pas la gueule si un pion me demande pourquoi je traine dans les couloirs au lieu d'être en cours (véridique !)

Pour continuer dans les trucs que j'ai oublié de demander au Normand, on notera aussi ma boite à thés. Pendant que ma petite dizaine de sachets de thé "Palais des thés" se meurt d'ennui en Bretonnie près d'un non buveur de thé, moi je dois me contenter du thé-vert dégueu qui traine en salle de pause ici...

Pour ma défense, j'étais pas en l'état de tous mes moyens ce week end : le petit virus que je sentais couver depuis quelques jours a décidé d'éclore vendredi soir, pour mon plus grand plaisir (ou pas), d'ailleurs, telle que vous ne me voyez pas à l'instant, j'ai la voix de Jeanne Moreau, le nez en cou-fleur et les yeux larmoyants, j'éternue et je remplis des mouchoirs à tour de bras.

EDIT du mercredi : Ah bah, j'étais tellement en forme lundi que j'ai pas fini mon billet et je l'ai pas publié non plus du coup, quelle quiche !


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jeudi 15 mars 2012

J'aime/J'aime pas #1

Pas très original comme présentation, mais je suis pas inspirée pour pondre un long texte structuré, ça sera donc du j'aime/j'aime pas en vrac

J'aime le printemps qui arrive, les journées qui rallongent, la fenêtre de mon bureau ouverte et les oiseaux qui gazouillent...

J'aime pas trop, par contre, mes allergies polliniques qui reviennent : atchoum, nez qui coule et z'yeux qui piquent, sexy attitude !

J'aime ce week end qui approche, que je vais passer avec le Normand, glandouillage et grasse mat' à l'hôtel, j'ai hâte.

J'aime que le temps passe finalement vite : restau, bar ou même week end avec des collègues sympa, ça fait passer le temps de façon très agréable.

En même temps, j'aime pas que le temps passe si vite, parce que j'ai peur de ne pas boucler tout ce que je veux avant de partir. Je pensais être beaucoup plus efficace dans mon boulot et me concentrer sur mes deux gros dossiers à finir, mais en fait, je fait 36 trucs, je perds ma concentration et j'avance à rien ! J'ai jamais passé autant de temps au bureau, cette semaine, je n'ai fait que des journées d'au moins 12 heures, heureusement que c'est la fin.

J'aime recevoir des mots gentils et positifs de la part d'un supérieur hiérarchique que je ne vois malheureusement pas beaucoup. Contrairement à mon Chef, il m'a confirmé que j'étais tombé sur un boulot dur, dans un contexte très particulier et pas favorable, et qu'il trouvait que j'avais fait du bon boulot. Et il a ajouté que ma décision de partir n'entachait ce que j'ai pu faire ici depuis 1 an et demi.

J'aime pas, mais c'est pas nouveau, l'humeur changeante du Chef : entre ignorance,  grosse colère et calme, je ne sais toujours pas et je ne saurais jamais sur quel pied danser avec lui, et ça me rend dingue !

J'aime savoir que dans un peu plus de 2 semaines, je serai en Bretagne, près de la famille, de plein d'amis, dans un nouveau chez-nous.

J'aime pas ne pas savoir exactement où je vais dans les quelques mois à venir. Moi la grande stressée, toujours plein de questions, je vais être dans le flou pendant quelques longues semaines. A priori, je serai fixée début juin, ça me parait tellement loin ! Qu'est-ce que je vais faire en attendant ?!

J'aime la nouvelle idée de coiffure que j'ai trouvé en traînant de blog en blog : une tresse africaine sur la tête, et ma frange en phase de repousse ne me fait plus ressembler au cousin Machin !

J'aime changer de vernis à ongles tous les jours, par contre, j'ai pas encore osé me pointer au bureau avec une manucure à petit pois... Le rose bubble gum me vaut déjà assez de regards étonnés de la part de mes collègues (masculins pour la plupart...)

Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée, et à bientôt !
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mardi 6 mars 2012

Ce soir, ça ne rame pas

Du coup, ça y'est, le relooking express est fini... Z'en pensez quoi ? Pas trop rose ? Lisible la police ? (dites ouiii, je la trouve trop joliiiie !)

Bon sinon, petit coup de mou ce soir. Aujourd'hui, j'ai passé beaucoup de temps à parler avec des collègues, mon remplaçant, et du coup, j'ai pas avancé autant que je l'aurais voulu sur le boulot... Mais une fois dans ma chambre après 18h00, j'ai plus aucune envie de bosser !

J'ai toujours cette impression bizarre que le 3 avril est encore loooin, j'ai vraiment hâte de m'installer dans notre nouveau chez nous, et en même temps, en journée, le temps file à une vitesse folle, et mon petit planning de bouclage de dossiers que je m'étais fixé est déjà tout chamboulé. Va falloir se sortir les doigts du... D'autant que le Chef ne va pas me faire de cadeau sur ce dernier mois, j'ai déjà l'impression d'être un peu mise de côté, il doute de mon sérieux, bref, le Chef quoi... Au moins il ne me manquera pas !

Bon, sur ce, je vais remonter dans ma chambre, me refaire des épisodes de Scrubs, série que je vais finir par connaître par cœur, mais dont je ne me lasse toujours pas.

Bisous !
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Bon, ben Habana avec son joli blog tout neuf, elle me rend trop jalouse, et maintenant, le mien, je le trouve tout moche ! Pisque c'est comme ça, je vais le relooker moi aussi !
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samedi 3 mars 2012

En Mars, ça repart !

Voilà, je commence avec un bon jeu de mots tout pourri et absolument pas innovant, mais tant pis.

Une nouvelle vie qui se profile, un nouveau blog qui s'ouvre.

Les premières étapes de ce changements viennent de passer :

Mardi soir, on a récupéré le fourgon de 14m3 pour le déménagement. J'étais en stress, "est-ce que tout va rentrer ?", le Normand m'a assuré que oui, j'ai décidé de lui faire confiance (mais j'ai stressé quand même ^^).

Mercredi, le Normand a fignolé les cartons puis rempli le fourgon avec l'aide du voisin, pendant que moi, j'étais au bureau, incapable de me concentrer sur mon boulot. J'ai réussi à rentrer assez tôt pour quand même servir à quelque chose dans le déménagement. Le fourgon était laaaargement assez grand. Il "me l'avait bien dit !" (gna gna gna). On a fêté le départ avec les voisins autour de saucisses avec de l'aligot (j'te défonce ton frigo, bravo à qui trouvera la référence ^^), et puis dodo ! Ou plutôt tentative, en fait on a pas trop dormi, un peu stressés sans doute, et surtout, dans la maison vide, tous les bruits résonnaient, et on entendait des sons auxquels on était pas habitués...

Jeudi, réveil 4h00 (oui oui), le temps de charger le matelas, la couette et les oreillers (à peu près tout ce qui restait dans la maison), de faire gober un calmant à Fanta-la-fauve et zou ! à 5h00, on était partis, le Normand aux commandes du 14m3 de la mort, et moi au volant de la schtroumpf-mobile. On a retrouvé devant notre nouveau chez-nous le papa et le frère du Normand, qui nous ont donné un super coup de main pour décharger et commencer le remontage des meubles. Petit coup de stress quand même dans tout ça : chat perdu ! Après une heure de recherche, d'abord dans la maison, puis partout autour, la panique montait, je la voyais déjà toute déboussolée, perdue sur la route, limite déjà écrasée, d'autant qu'en la cherchant, j'ai trouvé un chat mort dans le fossé, charmant... Et puis tout à coup, le Normand sort de la maison en courant et en criant "c'est bon". C'te patate s'était endormie comme une quiche sous le matelas qui n'attendait que d'être posé sur le lit... Comme ça, je suis bien passée pour une nou-nouille gâteuse auprès de la nouvelle voisine ^^

Vendredi, petit déjeuner au milieu des cartons et des meubles pas montés, j'ai un peu la boule au ventre. Aujourd'hui, je dois redescendre toute seule en Aveyron, au volant du tank... Je stresse de devoir conduire seule ce gros machin, et surtout, j'ai bien les boules de redescendre pour passer un mois toute seule, à dormir au dessus de mon bureau et pour bosser encore un mois... Finalement, le trajet s'est très bien passé, le tank se conduisant plutôt bien. C'a été un peu la course en rentrant. Arrivée à 17h30 à Hyper U pour rendre le fourgon, j'en suis ressortie au bout d'une heure, je suis tombée en plein coup de bourre. Puis il a fallu que je repasse à la presque-plus-maison pour récupérer mes affaires de squattage de chambre d'internat,  le proprio m'a appelé, mon papa a appelé, j'étais naze, le coup de cafard pointait le bout de son nez... Heureusement, une bonne nouvelle apportée pour un copain énitien par mail : le compte rendu de la réunion qui décide qui-qui-fait-quoi à la rentrée m'informe que j'ai reçu un avis favorable pour mes demandes de postes de prof à la rentrée. En clair, ça veut dire que si un de ces postes est effectivement vacant à la rentrée en septembre, j'y aurais le droit ! Rien de sûr encore cela dit, mais sur mes 11 demandes, y'a quand même au moins un qui devrait être dispo, hein hein hein ? Du coup, je sais pas trop quoi espérer, mes 2 premiers choix sont des matières dans lesquelles je me sens plutôt à l'aise, mais à 1h30 de route de la maison, les autres sont plus près... On verra bien ! Ce que je retiens, c'est que c'est un signe plutôt encourageant !

Aujourd'hui, je me suis bien installée dans mon nouveau chez-moi provisoire, et surtout, j'ai passé la matinée à nettoyer-ranger à fond la maison pour faire l'état des lieux avec le proprio. J'ai rendu les clés, résilier l'abonnement EDF et récupéré la caution, ce n'est définitivement plus chez nous !

Voilà pour la première page de ce nouveau départ !
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